Optimisation fiscale internationale et optimisation fiscale locale

Vous ne le savez peut-être pas, mais vous pouvez réduire facilement vos charges fiscales ! C’est une aubaine qui s’offre à vous. Et ça marche à tous les coups. C’est la magie de l’optimisation fiscale ! Elle vous permet de faire beaucoup d’économies sur les impôts. Selon les objectifs et les besoins de votre entreprise, vous pourrez choisir l’optimisation fiscale locale ou alors l’optimisation fiscale internationale. Bien évidemment, il serait intéressant de savoir de quoi tout cela retourne dans la réalité.

L’optimisation fiscale locale

L’optimisation est qualifiée de locale ou classique quand elle s’adresse à tout individu, créateur ou chef d’entreprise. C’est une opération dont la mise en œuvre repose sur les bénéfices que vous arrivez à dégager par an. Pour cette raison, l’optimisation fiscale locale va plutôt s’adresser à vous si vous avez l’intention d’économiser moins de 10 000 EUR d’impôts. Dans les faits, en quoi cela va-t-il consister pour vous ? Voyons cela pas à pas.
Dans un premier temps, il vous reviendra de choisir le type de votre société entre les options SARL, SA, SAS et entreprise individuelle. Ensuite, si vous penchez pour une SARL, vous allez alors choisir le statut convenable. Soit, vous adoptez un statut de gérant minoritaire soit celui de gérant majoritaire. La dernière étape est de décider de la manière dont vous allez répartir vos revenus entre les rémunérations et les dividendes.
La bonne nouvelle aussi, c’est que le gouvernement offre certaines dispositions que tout responsable d’entreprise peut utiliser pour l’optimisation fiscale locale. Il s’agit de la Loi Madelin et de la Constitution de SCI.
Il est important de savoir quand même que l’optimisation locale a une portée assez limitée en France. À côté de cette solution de réductions de charges fiscales, il y a aussi l’optimisation fiscale internationale qui s’offre aux entreprises.

L’optimisation fiscale internationale

Elle convient davantage aux entreprises dont les bénéfices sont assez importants. Si, par exemple votre société arrive à faire des bénéfices minimums de 100 000 EUR, vous remplissez déjà les conditions pour faire une optimisation internationale. Elle est à la portée des PME aujourd’hui et n’est plus l’exclusivité des grands groupes comme autrefois. Par ce système, vous allez faire de l’optimisation sur le bénéfice général de votre entreprise et sur les dividendes de vos actionnaires. Mais comment tout cela marche-t-il ?
Dans la pratique, vous faites recours aux législations et fiscalités internationales pour faire des montages qui profitent largement à l’entreprise. Généralement, une ou plusieurs sociétés offshores servent à réaliser les opérations commerciales. Pour les jeunes créateurs d’entreprises, il est souhaitable de recourir à l’optimisation fiscale depuis la création de l’entreprise.
Divers procédés sont utilisés comme :
– Mettre en place une société offshore pour effectuer des affacturages,
– créer une société offshore qui utilisera les techniques de prix de transfert,
– monter une société de holding.
Si vous ne pouvez pas le faire par vous-même, faites recours à un avocat fiscaliste si vous pouvez mobiliser 10 000 EUR à cet effet.